bras larges démones qui s'enfoncent
cassures briques paysages d'inquiétudes
traînée grise d'un plat qui s'écrase
alors cet état larvaire du corps en stances
cet abandon dans la rue dans la ville
béance large de lèvres aveuglées
les passants les miroirs les chevaux
dans le cœur corrompu et flagellé
tracent les gerçures le vin du cri
le sang la folle indifférence
d'une vie statuaire et close
nicolas vasse
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